Des photos récentes et anciennes...  Ils en parlent...
La cité populaire du haut pays
C'est bien entendu un endroit qui m'est particulièrement cher, puisque nous y avons pasé le plus clair de notre enfance à marcher sur les pelouses "interdite" (mon père avait reçu une amende !!), à jouer avec les tuyaux d'arrosage et dans le poirier qui poussait au bas du J1.
Notre tour J2 était habitée par les travailleurs d'Air France, et d'autres grandes entreprises nationales.
Il y avait beaucoup d'enfants et je ne dirais pas ici les conneries que nous savions tous organiser. Croyez-moi, la plupart des jeunes d'aujourd'hui sont des "petits saints" !

Alain Bachellier
Une carte postale envoyée par Patricia Anquetil.
Sur la carte postale de la cité, elle a entouré sa mère à la fenêtre du 2è etage...
Jacky Renaud y habitait...
Je me souviens de mon enfance à Villeneuve le Roi , c’était des années 60 à 72 . Nous habitions rue Raguet-Lespine Bt M3. A cette époque nous allions en classe à la maternelle Paul Painlevé
Puis à la ‘’ grande école ‘’ Paul Painlevé.
Je me souviens bien du directeur Monsieur Choin qui a été mon instituteur en CM2.
Mais le plus beau souvenir c’était Madame Baron douce et gentille.
Dans mes classes des noms me reviennent : Marc Têtard , Rémi Da Silva, Pascal Gagé, et Didier Marconville mon voisin .
Je me souviens aussi des hivers ou nous glissions sur un carton les pentes neigeuses des buttes engazonnées …
Les premiers essais de patins à roulettes ou les copains nous remorquaient en vélos. Marc , mon frère et moi avions nos petites fiancés : Marie Christine et Pascale Eynard Derrière chez moi il y avait un grand verger clos de murs, il y a eu aussi à une époque un préfabriqué en bois gris ou des ateliers étaient organisés les jeudis.


Voilà quelques souvenirs remontent grâce un peu à toi.
 
Si vous avez une histoire à raconter sur ce lieu,
prévenez - moi !
La cité en automne 2002
Pour la petite histoire, cette cité devait être vendue appartement par appartement.
Après de long mois de négociations et grâce à la fermeté de la municipalité (du précédent mandat), c'est l'OPAC qui a finalement tout repris.